Un praticien exerçant en médecine esthétique à Nantes a été suspendu pour deux mois par la chambre disciplinaire de l’Ordre des Médecins Pays de la Loire.
L’intervention concernait une pénoplastie réalisée le en 2013 ayant donné des effets secondaires graves. Le médecin a reconnu avoir peut-être injecté trop de produit mais selon la décision du CO, l’intervention avait été effectuée « sans délai de réflexion », sans devis préalable, et sans information suffisante sur les risques liés à l’acte.
En esthétique, il y a des règles précises
Le cas illustre que la forme esthétique d’une intervention ne dispense pas de l’obligation d’information et de consentement éclairé.


