Au pays de Shakespeare, les résultats d’une étude menée par des chercheurs de l’University College of London (UCL) dont le Dr. David Zargaran, à partir des fournisseurs de produits cosmétiques injectables, viennent de sortir.
Sur les 1 224 cliniques indépendantes et 3 667 praticiens analysés, il s’avère que la répartition par type d’injecteur est celle -ci :
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