Dans le cadre de son plan visant à lutter contre les déserts médicaux, François Bayrou a présenté une mesure qui suscite de nombreuses réactions : le plafonnement à 10% du chiffre d’affaires des médecins généralistes conventionnés pour les actes de médecine esthétique.
L’une des principales motivations de cette mesure est de limiter l’attrait exercé par la médecine esthétique, souvent plus lucrative et moins contraignante que la médecine générale. Le gouvernement souhaite ainsi