L’injection d’extraits plaquettaires ou PRP (plasma riche en plaquettes) permet d’améliorer la vitalité des tissus et de les réparer. En médecine esthétique, elle vise une régénération de la peau. Le traitement consiste à utiliser le propre sang du patient pour favoriser la guérison et la régénération des tissus. Cette technique est de plus en plus employée en orthopédie, en médecine du sport et même en dermatologie pour ses bienfaits potentiels sur la cicatrisation, la réduction de la douleur articulaire ou encore la repousse des cheveux. Dans cet article, découvrez le fonctionnement des injections PRP ainsi que leurs bienfaits, les indications et contre-indications, la sécurité et les risques, les résultats attendus, le coût et le cadre légal en France.
Sommaire :
- Méthode PRP
- Bienfaits et avantages du PRP
- Indications du PRP
- Déroulement séance PRP
- Résultats injections PRP
- Inconvénients et risques PRP
- Contre-indications PRP
- Prix injections PRP
- Les réponses à vos questions
- L’avis des experts de l’AFME
Méthode PRP
Dans le sang, nous avons trois types de cellules : les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes qui baignent dans le plasma. Ici, seules les plaquettes sanguines nous intéressent. En médecine esthétique, on utilise les extraits plaquettaires concentrés autologues (provenant du patient) comme produit de réparation et de revitalisation.
Dans une prise de sang, il est facile de séparer ces éléments pour obtenir le plasma seul, enrichi en plaquettes. Celles-ci contiennent des facteurs de croissance, capables de revitaliser (voire régénérer) les tissus.
La procédure d’injection de PRP se déroule généralement en ambulatoire : après le prélèvement sanguin et la préparation du plasma riche en plaquettes, le médecin injecte le PRP sous guidage (par exemple échographique pour une articulation) dans la zone concernée. L’acte est peu invasif et dure en tout une trentaine de minutes environ.
Bienfaits et avantages du PRP
Les injections de PRP offrent plusieurs bienfaits thérapeutiques grâce aux facteurs de croissance libérés par les plaquettes. Ce traitement vise à accélérer la cicatrisation des tissus et leur régénération. Par exemple, dans le cas d’une blessure tendineuse ou musculaire, le PRP peut favoriser une réparation plus rapide et de meilleure qualité en stimulant la production de collagène et la formation de nouveaux vaisseaux sanguins. On observe souvent une réduction de l’inflammation et de la douleur au niveau traité, ainsi qu’une amélioration de la fonction de l’articulation ou du tissu concerné. De ce fait, le PRP peut contribuer à améliorer la qualité de vie des patients, notamment en diminuant les douleurs chroniques ou en accélérant le retour à l’activité après une blessure.
Un autre avantage du PRP est son caractère naturel et autologue. Etant donné qu’il s’agit du propre sang du patient, il n’y a pas d’ajout de substance chimique ou de médicament étranger, ce qui réduit le risque d’allergie ou d’effets indésirables majeurs. Le PRP est ainsi perçu comme une alternative intéressante à d’autres traitements plus lourds (par exemple, la chirurgie ou les infiltrations de corticoïdes répétées), notamment dans les cas où ces derniers sont contre-indiqués ou insuffisamment efficaces. Certaines études et retours cliniques suggèrent également que le PRP, en plus de réparer les tissus, pourrait ralentir la progression de certaines dégénérescences (comme l’arthrose débutante) en améliorant l’environnement cellulaire de l’articulation. Toutefois, il est important de noter que l’efficacité peut varier selon les individus et les pathologies traitées et que la recherche se poursuit pour mieux définir les bénéfices du PRP dans chaque indication.
Indications du PRP
Les facteurs de croissance libérés par les plaquettes sanguines agissent en stimulant la multiplication des fibroblastes et la fabrication du collagène. Il y a quatre indications principales :
La revitalisation ou régénération cutanée
Les facteurs de croissances contenus dans le plasma riche en plaquettes vont stimuler la microcirculation locale et la fabrication du collagène. La peau devient plus douce, plus tonique, comme rajeunie. Le teint est plus rosé, plus vivant. C’est un coup d’éclat et de bonne mine lorsqu’on traite un visage par micro injections d’extraits plaquettaires.
Les cernes
C’est assurément une indication phare. Le produit injecté a la couleur du plasma (jaune clair) et sa consistance est très fluide. Le résultat est régulièrement spectaculaire et naturel : éclaircissement des cernes qui paraissent ensuite moins marqués.
Les rides
Une fois sous la peau, le PRP (plasma riche en plaquettes), prend une consistance gélatineuse. Une trame de fibrine se crée qui va être colonisée par les cellules environnantes. Ainsi, le PRP va recréer du tissu vivant là où il est injecté. A la différence des injections d’acide hyaluronique ou d’autres implants injectables de comblement (qui déclenchent une réaction sur corps étranger avec une légère fibrose), le tissu restera souple dans le temps.
PRP et repousse des cheveux
Les follicules des cheveux, quiescents sous la peau, peuvent être réveillés lorsqu’ils sont stimulés par l’injection de facteurs de croissance plaquettaires. Des repousses de cheveux et parfois une recoloration des cheveux blancs seraient possibles.
Bon à savoir : les injections de PRP sont couramment proposées pour traiter les lésions tendineuses (tendinites chroniques comme le « tennis-elbow » ou la tendinite d’Achille), les lésions ligamentaires (entorses) et les lésions musculaires. Par exemple, des sportifs de haut niveau ont popularisé le PRP pour accélérer la guérison après une blessure. En rhumatologie, le PRP est également utilisé pour soulager l’arthrose débutante, en particulier au niveau du genou (gonarthrose). Une injection de PRP dans le genou peut aider à diminuer les douleurs arthrosiques et à améliorer la mobilité sur plusieurs mois, là où les traitements classiques apportent parfois des résultats limités.
Déroulement séance PRP
Il suffit d’une prise de sang préalable (comme au laboratoire), suivie d’une centrifugation de 5 minutes. Les extraits plaquettaires sont alors prêts à être injectés. La séance totale dure de 30 à 45 minutes.
Le protocole habituel comporte deux séances à trois mois d’intervalle et une séance d’entretien annuelle. Pour les cheveux, le protocole est un peu différent avec 4 séances à 15 jours puis entretien une fois tous les 2 à 3 mois, par exemple.
Résultats injections PRP
Les résultats d’un traitement par PRP dépendent de l’indication traitée et varient d’un patient à l’autre, mais on peut dégager quelques tendances générales.
L’effet du PRP n’est pas immédiat, car on agit en stimulant une réparation naturelle qui prend du temps. En général, on n’observe pas de changement notable dans les tout premiers jours suivant l’injection. Ce n’est qu’au bout de quelques semaines que les premiers bénéfices cliniques apparaissent. Par exemple, pour un traitement capillaire, la diminution de la chute de cheveux et la repousse prennent souvent 2 à 3 mois avant d’être visibles (le cycle de croissance du cheveu étant lent). En esthétique cutanée, l’amélioration de la texture de la peau ou l’atténuation des ridules se manifeste progressivement en l’espace de 1 à 3 mois après le traitement.
Souvent, plusieurs séances de PRP sont nécessaires pour obtenir un résultat optimal. Le protocole varie selon les praticiens et les indications : typiquement, on propose 2 à 3 injections espacées de quelques semaines (par exemple 2 à 4 semaines d’intervalle) pour les pathologies musculosquelettiques ou capillaires. Certains protocoles pour l’alopécie prévoient 3 séances initiales (une par mois) puis une séance d’entretien quelques mois plus tard.
En termes de durée d’efficacité, les bénéfices du PRP peuvent se prolonger sur plusieurs mois. Dans le domaine capillaire, on estime que le gain obtenu peut durer jusqu’à 12-18 mois avant que la perte de cheveux ne reprenne progressivement son cours normal – des séances d’entretien annuelles sont alors proposées pour maintenir les résultats.
Avant et après PRP
Inconvénients et risques PRP
De manière générale, les injections de PRP sont considérées comme sûres puisqu’on réinjecte au patient son propre plasma. Le principal atout sécurité est l’absence de risque allergique ou de transmission d’une maladie, contrairement à un produit étranger ou dérivé du sang d’un donneur. Néanmoins, comme pour toute procédure d’injection, il existe certains risques et effets secondaires possibles, le plus souvent bénins et temporaires :
- Au moment de l’injection, le geste peut provoquer une douleur ou une sensation de picotement à l’endroit traité. Une anesthésie locale (crème anesthésiante ou légère sédation) peut être proposée selon la sensibilité de la zone afin de minimiser la douleur. La plupart des patients tolèrent bien l’injection de PRP, la gêne étant généralement modérée et brève.
- Dans les heures ou jours qui suivent, on peut observer une inflammation transitoire au site injecté : rougeur, léger gonflement, chaleur locale et sensibilité accrue. Ceci est une réaction normale liée à l’action du PRP (qui attire les cellules de guérison) et disparaît spontanément en quelques jours. Il est souvent recommandé de reposer la zone traitée pendant 24 à 48h et d’éviter les efforts intenses après l’injection.
- Plus rarement, des ecchymoses (bleus) peuvent apparaître sur la zone de ponction ou d’injection, surtout si des petits vaisseaux sanguins ont été touchés. Ces bleus se résorbent en une à deux semaines sans intervention particulière.
Enfin, il faut que les injections soient pratiquées dans des conditions rigoureuses par un médecin qualifié.
Contre-indications PRP
Bien que le PRP utilise le sang autologue du patient, il existe certaines contre-indications où ce traitement ne sera pas indiqué ou nécessitera des précautions particulières :
- Infection en cours : en cas d’infection locale sur la zone à traiter (infection de la peau, arthrite septique…) ou d’infection générale (fièvre, infection sanguine), il faut éviter de faire une injection de PRP. On reportera le traitement après complète guérison de l’infection pour ne pas risquer de la propager.
- Certaines maladies du sang : les patients souffrant de troubles sévères de la coagulation, de thrombopénie (taux de plaquettes trop bas) ou de maladies hématologiques graves ne sont pas de bons candidats pour le PRP. En effet, un sang pauvre en plaquettes ou avec une fonction plaquettaire altérée ne permettra pas de préparer un PRP efficace et le geste d’injection pourrait comporter un risque de saignement. De même, une anémie très importante peut être une contre-indication (par prudence, on évite de prélever du sang chez un patient déjà trop anémié).
- Traitements anticoagulants ou antiplaquettaires : un patient sous anticoagulants (comme la warfarine) ou sous anti-agrégants plaquettaires (aspirine, clopidogrel…) devra en général suspendre temporairement son traitement (avec l’accord du médecin traitant) s’il souhaite réaliser des injections de PRP ou bien renoncer au PRP. Ces médicaments réduisent l’efficacité des plaquettes et pourraient soit augmenter le risque de saignement au moment du prélèvement/injection, soit diminuer les bénéfices du PRP.
- Cancer actif : par précaution, on évite le PRP chez une personne atteinte d’un cancer évolutif, surtout hématologique. Même s’il n’y a pas de preuve que le PRP pourrait aggraver un cancer, le fait de concentrer des facteurs de croissance pourrait théoriquement stimuler des cellules tumorales résiduelles. En cas de cancer guéri ou en rémission, le médecin évaluera au cas par cas la pertinence d’un PRP.
- Grossesse et allaitement : ce ne sont pas des contre-indications absolues, mais par principe de précaution, beaucoup de médecins préfèrent ne pas réaliser ce traitement chez la femme enceinte ou allaitante, faute de données suffisantes. De toute façon, durant la grossesse certaines problématiques (comme l’arthrose ou les douleurs chroniques) sont mises entre parenthèses et traitées plus tard.
Avant de programmer un traitement PRP, le praticien passe en revue l’histoire médicale du patient pour dépister d’éventuelles contre-indications. Si vous prenez des médicaments ou présentez des conditions particulières, assurez-vous de les signaler afin que le médecin confirme que le PRP est approprié et sans danger dans votre cas.
Prix injections PRP
Pour une séance de prélèvement sanguin et injection d’extraits plaquettaires, comptez environ 300€ en repousse capillaire, 400€ en revitalisation cutanée.
Les réponses à vos questions
Les injections de PRP sont pratiquées par des médecins formés à cette technique. En France, on retrouve le PRP principalement chez les spécialistes en médecine du sport, en rhumatologie, en orthopédie ainsi que chez certains dermatologues ou chirurgiens esthétiques (pour l’indication de la chute de cheveux, par exemple). Toutefois, compte tenu du cadre réglementaire strict pour l’esthétique, nombre de praticiens limitent l’usage du PRP aux indications médicales (hors pur esthétisme). Le PRP n’est pas disponible dans tous les hôpitaux ou cliniques : il s’agit d’une offre de soin encore relativement récente, souvent proposée dans des centres privés ou des cliniques spécialisées. Il est possible que selon votre lieu de résidence, vous ayez à vous déplacer dans une grande ville ou un centre spécialisé pour bénéficier de ce traitement.
Le PRP n’est pas remboursé par la Sécurité Sociale en France. Cet acte est encore considéré comme hors nomenclature et un peu « expérimental » même s’il se répand dans la pratique. Cela signifie que le patient doit financer lui-même l’intégralité du traitement. Quelques mutuelles privées commencent à rembourser partiellement le PRP dans leurs offres haut de gamme, mais cela reste l’exception et non la règle.
On peut bénéficier de traitements par PRP en France dans un cadre médical thérapeutique. Pour faire simple, si le PRP est utilisé pour traiter une pathologie ou un problème de santé (tendinite, arthrose, cicatrisation, chute de cheveux pathologique…), il est autorisé que des médecins pratiquent cette technique, même si elle n’a pas un statut « standard » comme un médicament classique. De nombreux professionnels de santé proposent du PRP en respectant les protocoles de sécurité, et c’est légal. En revanche, l’utilisation du PRP à des fins esthétiques pures est interdite en France. Cela signifie que les injections de PRP uniquement pour un but cosmétique (par exemple un « vampire lift » pour rajeunir la peau sans raison médicale) sont proscrites par l’ANSM. La loi réserve l’usage des produits biologiques humains au soin médical ou à la recherche, pas au confort esthétique. Par conséquent, un médecin n’a pas le droit en France de faire de la publicité ni de pratiquer le PRP pour des ridules ou la calvitie s’il s’agit uniquement d’un motif esthétique. Dans la réalité, la frontière peut être subtile : traiter une alopécie androgénétique avérée peut être considéré comme médical (car la calvitie peut avoir un retentissement psychologique significatif), de même que traiter les cicatrices d’acné ou le vieillissement cutané prématuré chez certaines personnes. Néanmoins, officiellement, l’indication doit rester thérapeutique. Il est toujours bon de vérifier que le praticien qui vous propose un PRP le fait dans un cadre légitime et avec du matériel agréé.
Le PRP est un traitement non invasif, qui vise à stimuler la régénération naturelle des tissus. Cependant, il ne peut pas remplacer une chirurgie dans des cas graves.
- Pour les pathologies articulaires (ex : arthrose avancée, rupture ligamentaire complète, hernie discale sévère), le PRP peut retarder une chirurgie mais ne la rendra pas toujours inutile.
- En dermatologie et esthétique, le PRP peut améliorer la texture de la peau et stimuler la repousse des cheveux, mais il ne remplacera pas un lifting chirurgical ou une greffe capillaire dans les cas avancés.
- Pour les blessures sportives (ex : déchirure musculaire), le PRP accélère la cicatrisation et peut éviter certaines chirurgies, mais en cas de rupture complète d’un tendon ou d’un ligament, une intervention chirurgicale reste nécessaire.
Le PRP est donc complémentaire à d’autres traitements mais ne remplace pas une solution chirurgicale lorsque celle-ci est indispensable.
Il est généralement recommandé d’éviter les efforts physiques intenses pendant 48 à 72 heures après une injection de PRP, pour laisser le temps aux tissus de réagir et aux facteurs de croissance d’agir correctement.
- Pour le PRP articulaire ou tendineux (ex : genou, cheville, épaule), le repos est conseillé pendant une semaine pour ne pas provoquer d’inflammation excessive.
- Pour le PRP capillaire ou esthétique, aucune restriction stricte, mais il est recommandé d’éviter le sauna, le hammam et l’exposition au soleil pendant 24 à 48h.
- Un retour progressif au sport est recommandé, avec parfois une rééducation adaptée.
- Toujours suivre les recommandations du praticien selon la zone traitée.
Il n’existe pas d’âge minimum strict pour bénéficier du PRP, mais il est généralement recommandé pour des adultes, en fonction de l’indication médicale.
En médecine du sport, le PRP peut être utilisé dès l’âge de 18 ans pour traiter des blessures ligamentaires, tendineuses ou musculaires.
Pour la repousse des cheveux, les injections de PRP sont souvent proposées à partir de 25-30 ans, quand la calvitie débute.
En esthétique anti-âge, le PRP est surtout recommandé à partir de 40-45 ans, quand la peau commence à perdre en fermeté.
Pour les patients jeunes, le PRP n’est pas utile sauf en cas de blessures spécifiques. En revanche, il peut être envisagé plus tôt si une pathologie le justifie (ex : alopécie précoce, tendinite chronique).
L’avis des experts de l’AFME
L’intérêt de la méthode réside dans le fait qu’elle soit naturelle. Il n’y a pas de produit étranger donc une absence de risque de réaction. Les propriétés régénérantes des plaquettes sanguines sont également intéressantes (surtout à partir de 45 ans). La méthode est très utilisée par les rhumatologues (tendinites, arthrose…) avec succès.
Important à savoir : le statut légal des injections de PRP en France varie selon l’usage qui en est fait (médical ou esthétique). Depuis fin 2013, bien qu’en l’absence d’effets indésirables répertoriés avec cette technique, l’injection de plaquettes autologues à visée esthétique est interdite en France par la Direction Générale de la Santé en vertu de l’article L.1241-1 du Code de la Santé Publique, rappelant que le prélèvement des tissus, cellules, produits du corps humain et leur dérivés ne peuvent être effectués que dans un but thérapeutique ou scientifique.
A l’étranger, la réglementation peut différer : dans certains pays, le « vampire lift » et les traitements PRP esthétiques sont autorisés et couramment effectués. Mais en France, si vous voyez une offre de PRP pour le visage ou les cheveux purement cosmétique, sachez que cela se fait en dehors du cadre légal habituel.
Auteurs : Dr G. AMGAR et équipe de rédaction AFME
6 commentaires
Bonjour,
J’ai 49 ans et un problème de relâchement cutané surtout au niveau des bajoues, ainsi qu’une légère couperose.
J’étais intéressée par un lifting du bas du visage ou laser, radiofréquence, photoréjuvénation, mais une clinique esthétique à Paris m’a orientée vers un autre traitement non mentionné sur ce site, très cher (4900€ pour 4 séances) : « le PMR mineral Oxylift », expliqué ici : https://pmr-oxylift.fr/index.php/about/ et là https://www.roosevelt-esthetique.com/le-pmr-mineral-oxylift/
Les explications sont très succintes et assez abscons : « Les soins consistent en une reminéralisation de la peau au moyen de sérum protéines autologues, une ré-oxygénation sous pression et un renforcement de la trame cutanée en relançant les structures endormies ». D’après ce que j’ai compris, on prélève du sang dans le bras pour le réinjecter dans le bas du visage. L’efficacité serait remarquable, et cela devrait même remplacer bientôt les liftings.
En lisant votre article, je me demande si ce n’est pas en fait la même chose. Dans les 2 cas, on prélève du sang sur le patient et lui ré-injecte.
Connaissez-vous et que pensez-vous de ce soin svp ?
j’ai fait des injections de PRP sur la visage depuis 26 jours y’a pas de résultat.
Sana Debbabi : Pareillement..je n’ai rien constaté a cette date, après 3 semaines et encore en attente avec un espoir d’avoir ces résultats miraculeux mentionnés partout à chaque fois qu’ on consulte les sites de ce fameux PRP ….Any way j’espère que ce n’est pas de l’argent jetée par la fenêtre…:(
est ce qu’il y’aura des risques ou maladie du sang par cette injection, par le fait que la partie du cuir chevelu aura une augmentation des plaquettes ds cette zone
Merci de répondre ..
Je me demande quel est le taux de chances de voir une repousse serieuse des cheveux avec l’injection de plasma
Bsr moi aussi après 2injections aucune amélioration ce qui partait ça stope le vieillissement du visage c tt sinn moi le premier jour j récupéré mon beau visage après 48hmon visage est devenu terne et pâle comme ci j’ai jette mon argent j jure ne plus refaire le prp après 24h ça change en mauvais sens je suis choquée merci