En avril dernier, à Nice, cette femme s’est retrouvée aux urgences car elle n’arrivait plus à s’exprimer ni à avaler après avoir reçu des injections de Botox°. Ces injections avaient été pratiquées sur des zones du cou et du visage, par un « spécialiste » recommandé par des proches.
A noter que les injections avaient été réalisées au domicile même de cette personne.
Après son passage aux urgences, les médecins de l’hôpital diagnostiquent une paralysie du larynx, conséquence des injections de toxine botulique mal effectuées. A ce jour, elle est nourrie par sonde gastrique et peine toujours à s’exprimer.
Malheureusement, il n’existe pas d’antidote. Il faut attendre que l’effet du produit injecté cesse (au bout de plusieurs mois). Quant au prétendu médecin, il reste introuvable et injoignable…
Restez vigilant(e). Même si le risque zéro n’existe pas, minimisez-le en vous adressant à des médecins bien formés et expérimentés.